[…] nous n’avons pas envie d’être contrôlables par quelque « Big Brother » que ce soit. Qu’il existe déjà ou que l’on anticipe son émergence, le mieux est sans doute de faire en sorte qu’il ne puisse pas utiliser, contre nous, tous ces merveilleux outils que nous offrent — ou que lui offrent — les technologies numériques. […]
Même si l’on choisit de ne pas les utiliser directement, d’autres le font pour nous. Alors, autant essayer de comprendre ce que ça implique. […]